Cruel, cruel est le printemps pour les tristes célibataires...
A la faveur des premiers beaux jours de printemps je suis sottement sorti dans les carrés de verdure parisien...ils étaient là...les couples parisiens...insouciants, le sourire aux lèvres, enlacés et folâtrant sur le gazon ou s'échangeant de coquins secrets à l'ombre des marronniers...
Je ne cherche pas une histoire sérieuse, mais je me languis de la compagnie d'une femme, de ces instants complices privilégiés, le printemps suscite un appétit coupable chez moi, mais peut-être n'étais-je pas le seul triste célibataire ce jour-là et que tu te faisais la même réflexion, ombrageuse, à quelques pas de moi?
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